Conférence internationale – New Research on Late Byzantine Goldsmiths’ Works (13th-15th Centuries)

New Research on Late Byzantine Goldsmiths’ Works (13th-15th Centuries)

The international conference will take place on 29 and 30 October 2015 in the Römisch-Germanisches Zentralmuseum Mainz, Germany, and is organized by Dr Antje Bosselmann-Ruickbie, Johannes Gutenberg University, Institute for Art History and Musicology, Department for Christian Archaeology and Byzantine Art History (address: Georg Forster Building (Campus), Jakob-Welder-Weg 12, 55128 Mainz, Germany).

Research into late Byzantine goldsmiths‘ works is only at the beginning. This conference, the first of its kind on the subject, brings together acknowledged experts on the medieval art of the goldsmith. The period from the 13th to 15th centuries is especially rewarding for studying and discussing questions of cultural transfer and contact between Byzantium and its neighbours. Following the events of 1204, the influence of the Crusaders, among other things, becomes noticeable in Byzantine art. To mention but a few, the rise of the Seljuk Empire or the Christianization of the Balkans and Russia led to an extensive exchange and mutual influence in art, as well as trade. This was especially so in the 13th century, during which the Byzantine capital Constantinople was occupied by the so-called ‘Latins’ for about 60 years and is very revealing in this respect. For example, elements of Western heraldry in the shape of heraldic shields or lion rampants were taken up and elements of Islamic art were adapted. These complex processes have not been studied sufficiently and will be a focus of this conference. The papers will deal with questions of typology, style, ornaments, materials, techniques and functions, as well as dating and attribution of late Byzantine goldsmiths’ works, especially proposing new dating and interpretation.

Admission free, registration required. Please email bosselma@uni-mainz.de

Conference website:
http://www.blogs.uni-mainz.de/byzantinischegoldschmiedekunst/new-research-on-late-byzantine-goldsmiths-works-13th-15th-centuries/

Colloque international – La Bible médiévale – du Roman au Gothique (XIIe – XIIIe siècle) textes et images, production et usage

Colloque international

La Bible médiévale – du Roman au Gothique
(XIIe – XIIIe siècle) textes et images, production et usage

Lisbonne, Bibliothèque Nationale du Portugal – 3-4 Novembre 2015

 

Comité d’organisation:
Luís Correia de Sousa (IEM–FCSH-UNL)
Maria Alessandra Bilotta (IEM-FCSH/UNL)

Programme du colloque ici.

Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine – Créteil

Colloque

Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine

Créteil
10-11 juin 2016

Appel à communication

            Au IIe siècle apr. J.-C., le lexicographe Pollux de Naucratis s’est attaché dans son Onomasticon à réunir les termes permettant de parler d’une façon juste et belle de toutes sortes de sujets, et notamment de la cité. C’est cette section (IX, 6-50) que le séminaire Les mots grecs de la ville antique, porté depuis 2012 par l’Institut de Recherche sur l’Architecture Antique (CNRS, AMU, Université Lumière Lyon 2, UPPA) et labellisé par le labex IMU[1], traduit, commente et illustre. Au travers des mots que Pollux recueille avec le désir de transmettre la tradition littéraire, se dessine une vision des villes grecques de l’Antiquité. Le désir de confronter celle-ci à d’autres conceptions du monde urbain exprimées dans la même langue est à l’origine du présent colloque qui propose de mettre les mots et les discours au cœur des études urbaines.

            Il s’appuie, d’une part, sur les travaux menés sur le vocabulaire architectural grec dès la seconde moitié du xixe siècle[2]. Dans les années 1980-1990, le Λεξικόν αρχαίων αρχιτεκτονικών όρων d’A. K. Orlandos et I. N. Travlos (1986), les Recherches sur le vocabulaire de l’architecture grecque, d’après les inscriptions de Délos de M.-Chr. Hellmann (1992) et le Dictionnaire méthodique de l’architecture grecque et romaine de R. Ginouvès et R. Martin (3 vol., 1985-1992-1998) et récemment le Πολύγλωσσο Εικονογραφημένο Λεξικό Όρων Βυζαντινής Αρχιτεκτονικής και Γλυπτικής de S. Kalopissi-Verti et M. Panayotidi-Kesisoglou (2010) ont bien montré l’intérêt des analyses détaillées de mots isolés. Mais ces quatre publications, qui sont devenues des usuels pour qui s’intéresse aux textes grecs relatifs à l’architecture, visent surtout, pour les deux dernières, à proposer un langage normalisé aux archéologues et, pour les deux premières, à faciliter la lecture des documents antiques et, dans le cas des lexiques d’A. K. Orlandos et I. N. Travlos d’une part et de S. Kalopissi-Verti et M. Panayotidi-Kesisoglou d’autre part, médiévaux. De plus, elles ont pour objets avant tout des éléments d’architecture et non des ensembles. La ville saisie dans sa totalité est absente, excepté dans l’une des dernières sections du Dictionnaire méthodique (vol. 3, p. 172-190),

            D’autre part, le colloque s’inspire de L’aventure des mots de la ville (2010). Dirigée par Chr. Topalov, L. Coudroy de Lille, J.-Ch. Depaule et Br. Marin, cette entreprise collective retrace le cheminement dans l’espace et dans le temps de termes issus de huit langues d’aujourd’hui. Suivant la démarche adoptée dans cet ouvrage, le colloque invite à comprendre les mots non comme de simples étiquettes appliquées plus ou moins arbitrairement aux réalités urbaines, mais comme des outils de leur description, comme le résultat des manières de les percevoir et comme des guides du regard que les Anciens et les Byzantins portaient sur celles-ci. Il s’agit d’étudier le vocabulaire et le langage relatif à la ville dans les territoires hellénophones de l’Antiquité et du Moyen-Âge pour saisir les représentations mentales qui sous-tendent l’usage des mots et que, dans un mouvement inverse mais simultané, ces derniers construisent. Comment les mots de la ville se façonnent-ils ? Comment les mots façonnent-ils la ville ?

            Les mots permettent de décrire, qualifier, catégoriser les villes et les éléments urbains, qu’il s’agisse pour les auteurs de parler de villes réelles, passées et présentes, ou de créer des villes fictives, littéraires ou philosophiques. En partant des manières grecques de dire le monde urbain, on s’interrogera sur la ville comme une entité, sur les éléments qui la composent et sur les typologies, mouvantes, que traduisent les mots et les discours. On pourra examiner les textes où la ville constitue le cadre du récit ou forme l’objet même du propos comme dans les descriptions, les éloges, les réglements urbains. On pourra aussi analyser les mots qui ont trait à la ville dans son ensemble et à son organisation, ceux qui renvoient aux édifices considérés comme caractéristiques de l’urbanité ou à des fonctions proprement urbaines, ceux, enfin, qui permettent de qualifier une ville, ses fondateurs et ses habitants par opposition aux personnes qui résident à la campagne. L’analyse peut se révéler fructeuse si elle porte sur des termes pris isolément, en famille lexicale, dans un champ sémantique ou dans une œuvre.

            Ce colloque, qui porte sur une longue période allant des premiers textes en grec jusqu’à la chute de l’empire romain d’Orient, sera l’occasion de réfléchir aux différentes manières de dire la ville dans le temps. On pourra suivre l’aventure des mots et de leur sens en prêtant attention à la fréquence de leur usage et aux réalités qu’ils recouvrent, selon les contextes, dans un champ lexical ou un champ sémantique particuliers. Peut-on montrer que la naissance du mot atteste la prise de conscience de la chose ? Les changements de mots sont-ils le reflet des changements de choses ? Plus largement, la transformation du langage sur la ville résulte-t-elle de l’évolution spontanée d’un usage liée aux mutations d’une société ou d’une volonté délibérée de catégoriser différemment une même réalité urbaine à travers le temps ?

 

            La réflexion concerne toutes les régions où l’on a parlé la même langue à un moment de l’histoire : le grec ancien, que nous voulons saisir dans la diversité de ses dialectes. Au-delà des différences linguistiques observe-t-on des singularités régionales, locales, que l’adoption de la langue commune, la koinè, n’aurait pas complètement uniformisées ? Lorsqu’ils furent en contact avec d’autres langues, comment les locuteurs hellénophones ont-ils intégré l’exotique ou la nouveauté dans leur lexique pour dire la ville ? Quelles interférences culturelles et linguistiques observe-t-on dans les différents modes d’absorption d’élements d’une autre langue, qu’il s’agisse de translittération, de traduction ou de transferts et de décalques de langues étrangères exportatrices de modèles et d’objets urbains ? Au-delà des langues « barbares » auxquelles les Grecs ont emprunté le « paradis », comment s’est exprimée, dans le monde grec sous domination romaine, la cohabitation entre le grec et le latin dans les manières de désigner la ville et ses éléments ? Inversement, comment des langues étrangères se sont-elles approprié les termes grecs de la ville ?

            On pourra enfin s’interroger sur les milieux dans lesquels sont employés ces mots et sont élaborés ces discours sur la ville. Une même réalité urbaine peut être exprimée différemment selon les intentions et les possibilités culturelles des locuteurs. Comment percevoir dans les textes les mots qui font écho à des catégories communes et ceux qui renvoient à des catégories élaborées dans des milieux restreints ? Voit-on se développer un vocabulaire technique, spécifique aux autorités administrantes ? M.-Chr. Hellmann a montré que le vocabulaire architectural des gestionnaires de la fortune d’Apollon délien se caractérisait par la polysémie, la synonymie, l’usage de la métaphore et l’imprécision. Qu’en est-il pour les mots de ville ? Dans quelle mesure la nature des textes (un éloge, une tragédie, un dictionnaire, un règlement, une inscription honorifique …) induit-elle une façon particulière de dire la ville et de se la représenter ? On pourra aussi se demander si les lieux où sont prononcés les discours, où s’inscrivent les textes induisent des langages différents. Existe-t-il des différences dans les manières de dire la ville selon que le locuteur se trouve en dehors de la ville ou dans son enceinte ? À l’Assemblée, sur l’agora, au théâtre ou dans un tribunal ?

            Les communications, d’une durée de 20 minutes, en français ou en anglais, pourront porter sur tous les territoires hellénophones, des premiers textes grecs à la chute de Constantinople. On prendra en compte toutes les sources textuelles, quels qu’en soient le support et la nature, sans négliger les textes juridiques et techniques. On pourra recourir ponctuellement aux vestiges architecturaux et aux sources iconographiques.

            Si cet appel à communication retient votre attention, veuillez nous proposer un titre provisoire ainsi qu’un résumé de 10 à 20 lignes avant le 1er septembre 2015.

 

Comité scientifique

Vincent Azoulay (Université Paris-Est Marne-la-Vallée, EA 3350 ACP, IUF), Julien du Bouchet (Université Paul-Valéry Montpellier, EA 4424 CRISES), Pierre Chiron (Université Paris-Est Créteil, EA 4395 LIS, IUF), Sophie Gotteland (Université Bordeaux-Montaigne – UMR 5607 Ausonius), Virginie Mathé (Université Paris-Est Créteil, EA 4392 CRHEC), Silvia Milanezi (Université Paris-Est Créteil, EA 4392 CRHEC), Jean-Charles Moretti (CNRS, USR 3155 IRAA), Arietta Papaconstantinou (University of Reading), Liliane Rabatel (CNRS, USR 3155 IRAA), Catherine Saliou (Université Paris 8, HPSS-EA 1571 et UMR 8167, EPHE).

 

Contact :

Virginie Mathé : virginie.mathe@u-pec.fr

 

[1] N. Bresch (IRAA-USR 3155 / CNRS), R. Bouchon (HiSoMA-UMR 5189 / Université Lyon 2), V. Chankowski (HiSoMA-UMR 5189 / Université Lyon 2), C.  Durvye (IRAA-USR 3155 / Aix Marseille Université), S. Gotteland (Institut Ausonius-UMR 5607 / Université Bordeaux Montaigne),  J.-J. Malmary (IRAA-USR 3155 / CNRS), V. Mathé (CRHEC-EA 4392 / Université Paris-Est Créteil), Chr. Mauduit (AOROC- UMR 8546 / ENS Paris), J.-Ch. Moretti (IRAA-USR 3155 / CNRS), C. Palermo (IRAA-USR 3155 / Université Lyon 2), L. Rabatel (IRAA-USR 3155 / CNRS), B. Redon (HiSoMA-UMR 5189 / CNRS), C. Saliou (HPSS-EA 1571 / Université Paris 8 et EPHE) et H. Wurmser (IRAA-USR 3155 / Université Lyon 2).

[2] Th. L. Donaldson, Collection des exemples les plus estimés des portes monumentales de la Grèce et  de l’Italie, 1857 ; H. Blümner, Technologie und Terminologie des Gewerbe und Künste bei Griechen und Römer, 1875-1886 ; E. Fabricius, De Architectura graeca commentationes epigraphicae, 1881 ; A. Choisy, Études épigraphiques sur l’architecture grecque, 1884 ; H. Lattermann, Griechische Bauinschriften, 1908.

48th Byzantine Spring Symposium

Whose Mediterranean is it anyway?
Cross-cultural interaction between Byzantium and the West 1204-1669

The Open University, Milton Keynes
28-30 March 2015

Programme

Saturday 28th March

Registration and Welcome – Berrill Building

09.30-10.15: Registration / coffee

10.15-10.30: Angeliki Lymberopoulou (Milton Keynes) – Welcome

Morning Session – Berrill Building
Chair: Liz James

10.30-11.00: Angeliki Lymberopoulou (Milton Keynes) – Framing of the 48th Spring Byzantine Symposium

11.00-11.40: Jane Baun (Oxford) – Whose Church is it anyway? Mediterranean Christianities in cross-cultural context

11.40-12.00: Discussion

12.00-13.30: Lunch (Berril Building)

Saturday 28th March
Afternoon Session – Berrill Building
Chair: Leslie Brubaker

13.30-14.10: Liz James (Sussex) – Made in Byzantium? Mosaics after 1204

14.10-14.50: Stefania Gerevini (Rome) – Beyond 1204? The Baptistery of San Marco, the chapel of St Isidore, and the meaning of Byzantine visual language in fourteenth-century Venice

14.50-15.30: Michele Bacci (Freiburg) – Enhancing the Authority of Icons: Italian Frames for Byzantine Images

15.30-15.55: Discussion

16.00-16.30: Coffee / Tea (Berrill Building)

16.00-17.30: SPBS Meeting (Hub Theatre)
(Coffee / Tea for those attending this meeting will be served at the Hub Theatre)

Open Lecture – Berrill Building
Chair: Angeliki Lymberopoulou

17.45-19.00: Leslie Brubaker (Birmingham) – Space, place and culture: processions across the Mediterranean

Symposium Feast – Hilton Hotel
19.45


Sunday 29th March

Please note: British Summer time begins on Sunday 29th March – clocks go forward one hour

Morning Session – Berrill Building
Chair: Rembrandt Duits

9.00-09:40 Diana Newall (Kent) – Artistic and Cultural Tradition through Candia in the 15th century

09:40-10.20: Maria Constantoudaki (Athens) – Aspects of Artistic Exchange on Crete. Remarks and Question Marks

10.20-10.50: Coffee / Tea (Berrill Building)

10.50-11.30: Sharon Gerstel (Los Angeles) – Between east and West: Locating Monumental Painting from the Peloponnesos

11.30-11.55: Discussion

12.00-13.30: Lunch (Berrill Building)

12.45-13.30: SPBS AGM (Berrill Building)

13.30-15.30: Communications – Two Parallel Sessions (please see additional programme)

Session A: Berrill Building – Chair: Diana Newall
Session B: Hub Theatre – Chair: Tony Eastmond 

15.30-16.00: Coffee / Tea (Berril Building for all)

Sunday 29th March
Afternoon Session – Berrill Building
Chair: Dionysios Stathakopoulos

16.00-16.20: Ioanna Christoforaki (Athens – in absentia) – Crossing Boundaries: Colonial and Local Identities in the Visual Culture of Medieval Cyprus

16.20-17.00: Tassos Papacostas (London) – Where Byzantine, Gothic and Renaissance architecture crossed paths: Cyprus under Latin rule

17.00-17.15: Discussion

Open Lecture – Berrill Building
Chair: Angeliki Lymberopoulou

17.30-18.45: Dionysios Stathakopoulos (London) – ‘Latin basillisses’: transcultural marriages in late medieval Greece

18.45: Reception – Berrill Building: Sponsored by Ashgate


Monday 30th March

Morning Session – Berrill Building
Chair: Tassos Papacostas

09.00-09.40: Tony Eastmond (London) – Contesting Art in the Thirteenth Century

09.40-10.20: Hans Bloemsma (Middelburg) – Byzantine nearness and Renaissance distance in Early Italian Painting

10.20-11.00: Rembrandt Duits (London) – Byzantine Influences in the Iconography of Last Judgment in Late Medieval Italy

11.00-11.30: Tea / Coffee (Berrill Building)

11.30-12.10: Francesca Marchetti (London) – O insignis Graecia, ecce iam tuum finem. Illustrated medical manuscripts in Late Palaeologan Constantinople and their fortune in Sixteenth Century Italy

12.10-12.45: Discussion and Closure of the 48th Spring Byzantine Symposium

12.45-14.00: Lunch (Berrill Building)

 

Communications

Sunday 29th March 2014, 13.30 -15.30

**Please Note: The allocated time per communication is 12 minutes plus 3 minutes for questions – a total of 15 minutes per communication. The 20 minute allocation in the programme is provided for those who would like to move between the Berrill Building and the Hub Theatre in the Open University campus to attend different communications. Chairs are advised to be ‘Bryer’-ruthless in their time keeping. Thank you for your co-operation.**

Session A: Berril Building – Chair Diana Newall

13.30-13.50: Livia Bevilacqua (Venice) – Venice in Byzantium: Art and Patronage in the Venetian Quarter of Constantinople (13th-15th centuries)

13.50-14.10: Matthew Kinloch (Oxford) – Shared Cultures of Power: Cities and power in Byzantium and Italy

14.10-14.30: Christopher Wright (London) – Prizes or prisons: the Latins and power over islands in the Palaiologan Byzantium

14.30-14.50: Anestis Vasilakeris (Istanbul) – The Drawing Process in Byzantine and Italian Painting around 1300

14.50-15.10: Andrea Mattiello (Birmingham) – The elephant on the page: Ciriaco de’Pizzicolli D’Ancona in Mystras

15.10-15.30: Maria-Vassiliki Farmaki (Athens) – Theatre Arts and Life in Byzantium: the Connection between Byzantine and Latin Theatre

 

Session B: Hub Theatre – Chair Tony Eastmond

13.30-13.50: Dion Smythe (Belfast) –Nέα ελληνική κουζίνα: ‘Oil and water in the same cup’

13.50-14.10: Grant Schrama (Ontario) – Home is where your heart is: Latin Diaspora and Identity in Constantinople and Greece, 1204-1300

14.10-14.30: Leonela Fundic (Brisbane) – Epiros between Byzantium and the West in the Thirteenth and Early Fourteenth Centuries: Visual Evidence

14.30-14.50: Teodora Konach (Cracow) – The gesture of Dessislava – Byzantine and Western contexts at the Cultural Crossroads

14.50-15.10: Agnes Kriza (Cambridge) – The Royal Deesis: an anti-Latin imagery of Late Byzantine Art

15.10-15.30: Alex Rodriguez Suarez (London) – Bell-ringing in Byzantium during the late Byzantine period: an introduction

Colloque – Byzance et ses voisins, XIIIe-XVe siècle : art, identité, pouvoir

Colloque International

19-20 mars 2015, INHA salle Vasari

Le Laboratoire de recherche en histoire de l’art (UMR 8150) du Centre Chastel, dans le cadre du Labex EHNE (Ecrire une histoire nouvelle de l’Europe), vous invitent à participer au colloque sur le thème :

Byzance et ses voisins, XIIIe-XVe siècle : art, identité, pouvoir

Depuis l’occupation latine en 1204 et jusqu’à la chute de Constantinople en 1453, l’empire byzantin a connu un grand éclatement territorial et perdu de nombreuses et importantes provinces. L’indépendance des peuples qui autrefois étaient sous l’autorité de Byzance, la présence des Latins dans plusieurs régions de l’empire même après la fin de l’occupation latine et l’avancement progressif des Ottomans ont forgé de nouveaux points de repères et créé des interactions dans tous les domaines.

Le but de ce colloque serait d’étudier les relations qu’entretient Byzance avec les peuples indépendants des Balkans, les Latins, les Ottomans et les Arabes. Les communications mettront en évidence les particularités de ces rapports à travers, d’une part les interférences artistiques et d’autre part les conflits de pouvoir et d’identité religieuse.

Affiche

Programme